Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (101)

Véronique sortant de la torpeur ou sa nuit d’escorte l’a plongé, commence à nous raconter pourquoi depuis que nous l’avons récupéré elle dort tout le temps et qu’elle tient des enveloppes sur sa poitrine.

• L’homme s’est présenté à moi, il m’a dit s’appeler Christian et était médecin généraliste.
Il était déjà habillé d’un peignoir de l’hôtel.
Il m’a proposé un verre que j’ai décliné.
Je le sentais emprunter.
Il m’a tendu l’enveloppe pour laquelle j’étais là. Je lui ai demandé de me rendre dans la salle de bain où je l’ai contrôlé et où je me suis rafraîchi.
Je me suis mise nue et j’ai passé le peignoir qui semblait être à ma disposition.
Je suis revenu dans la chambre, Christian m’attendait nu sur le lit, je l’ai imité et je l’ai rejoint.
Souhaitant rapidement le décontracter, je l’ai embrassé.
Il m’a pris dans ses bras.
Je suis descendu voir à quoi sa queue ressemblait, elle commençait à se tendre et ma bouche a fait rapidement le nécessaire pour qu’il puisse me pénétrer.
J’ai profité de son allongement et je me suis assis sur sa verge.
Je l’ai enfoncé en moi.
Il m’a pris les seins, qu’il a caressés allant même jusqu’à les martyriser dans leur respect.
Il m’a limé jusqu’à ce qu’il décide de changer de position, j’adore la levrette et j’ai été servi par les grands coups de sexe qu’il m’assénait en me tenant les hanches.
J’aurais voulu le ralentir craignant que s’il déchargeait il ne soit un homme à un coup et que la nuit soit longue même si j’adore dormir.
Christine tu me connais j’aime que mes clients en aient pour leur argent.
Cause perdue avant que je n’aie fait quoi que ce soit il m’envoyait des jets de spermes dans ma chatte.
• Et c’est ça qui t’a mise dans cet état.
• Attends, écoute la suite.
• Je suis tout ouïe, vous aussi les amis.

Un oui général est monté des bouches des uns ou des autres, nous étions captivés par l’histoire qui lui est arrivée car bien sûr un petit coup est loin de mettre ma grande cochonne dans l’état où nous l’avons récupéré.



• Nous nous sommes allongés et rapidement il a pris la direction de la salle de bain.
J’ai entendu l’eau coulée, il a été de retour son sexe commençant déjà à rebander.
Il m’a rejoint et a tenu à me brouter la minette, rapidement je suis montée en gamme dans les aigus sa langue me fouillant différemment de ce que vous me faites subir mes chattes.

Elle s’adressait à Marie-Ange et Valériane qui buvaient ses paroles.

• Il m’a mis sur le côté et placé derrière mon dos il a pénétré mon cul non s’en avant avoir pris soin de me demander si j’acceptais.
• Je peux.
• Vous pouvez Christian.
Sa tête m’était cachée mais après coût je pense qu’il devait rigoler.
Il m’a pénétré mais même si son rythme me plaisait, ma rondelle est restée sage.
Avant que je ne comprenne sa semence est entrée dans mon anus, je l’ai bien senti à travers la capote.
Il a émis un grognement légèrement différent que quand j’étais en levrette.
Il s’est levé et a été au bar où il a ouvert une bouteille de champagne.
Il m’en a proposé mais j’ai pris le verre d’eau qu’il m’a servi.
Sa coupe finie, il s’est rendu dans la salle d’eau et j’ai entendu qu’il se rafraîchissait.
Je me suis levé voulant moi aussi me rafraîchir mes intimités ces deux saillis m’ayant fait coulé car vous me connaissez si la première fois je suis resté sage, cette sodomie m’a bien excité et ma cyprine à couler dans l’intérieur de mes jambes.
En passant la porte il a eu l’air surpris de me voir entrer.
Dans un mouvement il a fait tomber le peignoir qu’il venait de renfiler.
Alors que j’étais devant le lavabo et que j’avais pris un gant pour rafraîchir mon petit capital, il est venu derrière moi m’a embrassé dans le cou et m’a lui-même passé le gant mouillé qu’il avait récupéré dans ma main.
Alors qu’il me caressait avec le gant, il m’a encerclé la poitrine du sens opposé à la fois précédente et ma pris l’autre sein qu’il a pétri délicatement.

Il m’a écarté les jambes et m’a présenté son sexe pour me prendre par ma chatte, sans avoir besoin que je le stimule, il bandait comme la première fois de la soirée et a en moins de cinq minutes j’ai joui divinement !
Profitant de notre position, me parlant dans mon cou, il m’a susurré.

• As-tu aimé, en veux-tu encore ?
• Comment veux-tu que je te refuse de me prendre, ta queue est tellement tendue !
Immédiatement il me cloue, sa queue me paraît plus grande que celle qu’il m’a introduite précédemment.
La position devait y contribuer.
Quel baiseur, je suis dans l’incapacité de compter le nombre de fois que ma chatte s’enflamme et que mon clito s’enflamme !
Je commence même à sentir de petites douleurs qui au lieu de me ralentir me stimulent et me font en redemander.
Il me la remet bien au chaud dans ma fente qui en coule de plaisir et qui déclenche une nouvelle décharge le long de ma colonne vertébrale.
Sans se prendre la tête nous avons une fois de plus une jouissance qui me fait tomber dans un trou béant.
Il me porte littéralement sur le lit et retourne chercher de l’eau pour rafraîchir une nouvelle fois mon front.
• Je commence à entrevoir ce qui t’es arrivé.
• Un nouveau sentiment aux attouchements qui me sont procurés sur mon corps, mon client semblait d’un coup plus féminin que ceux que j’ai subis depuis plus de deux heures.
Deux heures de jouissance et ce surhomme qui me met dans la bouche sa pine avec autant de rigidité.
Ce surhomme qui peut me mettre sa verge dans la bouche alors qu’en ouvrant les yeux il est debout au-dessus de moi appuyé sur la tête de lit et en train de me lécher la chatte pour extirper le sucre qu’elle distille.
Sans lâcher la verge fichée dans ma bouche j’arrive à apercevoir celui qui s’occupe de ma féminité.
Le visage au-dessus de ma tête et celui qui est à la hauteur de ma vulve sont identiques.
• Je voyais venir le contexte tu as eu affaire à des jumeaux qui se sont amusés de toi.

• Oui, des jumeaux, je comprends d’un coup que l’un bandait et me satisfaisait pendant que l’autre se reposait.
Drôles de sensations que ces deux hommes en tout point identiques mais quand j’analyse leur comportement et leur technique en amour ils sont pleins de différences.
L’un est plus doux, presque caressant comme vous pouvez l’être mes amies, l’autre plus virile vous saillant à la hussarde.
L’un droitier, l’autre gaucher, car le plus doux se masturbe pour bander et me pénétrer avec sa main gauche alors qu’instinctivement l’autre prend sa droite.
Des points invisibles au premier regard mais qui avec le temps sautent aux yeux.
À ce moment je dois me concentrer sur ces deux hommes qui une fois de plus ont décidé de me donner du plaisir avant de prendre le leur.
Des gentlemans en un mot qui privilégient le plaisir de la femme avant le leur ce qui est rare avec certains clients qui se servent de nous comme des objets car ils nous payent.
Alors je dois en profiter même si tout mon être crie stop depuis que ces deux verges me taraudent
La turgescence de leur verge me demande de finir le travail que doit assumer une escorte même si tu m’avais dit que j’avais rendez-vous avec un seul client.
Une nouvelle fois j’ai joui, je m’envole quand le premier s’allonge sur le lit queue en l’air et qu’il m’empale.
Je m’envole quand le sosie ou le jumeau entre dans ma chatte et qu’il vient caresser mon périnée.
Prise en sandwich par ces deux virilités considérant que j’ai assumé mon travail avec l’argent donné dans l’enveloppe, j’attends que mon corps et le leur prennent leurs plaisirs.
Peu de temps à attendre et je retourne dans le monde des songes.
Quelle heure était-il, combien de temps ai-je quitté mon corps, pourquoi alors que je sens les corps des jumeaux le long de mon corps ma chatte est de nouveau labourée par une langue rappeuse.
Pourquoi, essayer avec les doigts d’une main gauche ainsi que d’une droite de pénétrer mon sexe ?
Pourquoi une bite essaye d’ouvrir ma bouche, ce qu’elle arrive à faire dès sa deuxième tentative ?
Ou suis-je qui suis-je, qui me malaxe, me retourne me lèche la chatte puis me passe sa langue dans le trou des fesses le tout sans aucune pudeur.
J’ai beau avoir rouvert les yeux, la bite qui me taraude la bouche m’empêche de voir ce qu’il m’arrive.
Tout ce que je peux dire, plutôt ce que je sens, c’est que deux bites entrent simultanément dans ma chatte.
Comme l’on dit, quand-il y en a pour un il y en a pour deux, la première bite dans ma bouche fait de la place sur le côté et un deuxième comble le trou.
Deux dans la chatte, deux dans la bouche.
Quatre queues, le compte est-il bon.
Mais pourquoi alors que ce sont des jumeaux qui me baisent ils ont quatre bites ?
Sont-ils difformes ?
Et enfin d’où vient cette autre bite qui sollicite ma main pour que je la masturbe ?
J’ai tellement de points de mon corps qui sont stimulés en étant pénétrés, qu’il m’est impossible de décrire qu’elle partit de mon être est sans aucune sensation.
Je sens les deux verges dans ma bouche se raidir et m’arroser la glotte. Leur plaisir pris, il se retire et la bite que j’ai dans ma main vient prendre sa place.
Une troisième ration de sperme m’a été servie dont j’ai évité de perdre la moindre goutte.
Ma chatte est abandonnée par une dague qui la taraude et vient prendre sa place dans l’espace libéré.
Une, deux, trois puits quatre décharges de foutre qui ruissellent dans ma bouche puis dans ma gorge.
Mes intestins vont bientôt déborder de toutes ces sécrétions qu’ils m’injectent dans le corps.
Et pourquoi s’arrêter en si bon chemin, la dernière bite encore présente dans ma petite tirelire se retire et pendant qu’elle y est n’a aucun scrupule à remplacer celle qui vient de me quitter ?
Là c’est bon, la coupe est pleine, je dirais qu’elle déborde.
Pourtant pourquoi la une, la deux, la trois, la quatrième bite auraient-elles eu le droit de se vider au fond de ma bouche et que je refuserais ce plaisir à la cinquième ?
Le temps de penser à tout ce qui m’arrive, elle prend son plaisir et ses jets rejoignent les jets précédents.
C’est ce matin vers huit heures que j’ai compris l’exploit que mon corps avait accepté d’endurer.
C’est dans la baignoire remplie d’eau chaude où ils m’ont transporté que mon cerveau a accepté de se reconnecter.
C’est après que l’on met lavée, savonnée, séchée et parfumée que l’on m’a porté sur une chaise devant une table où un petit déjeuner m’a été servi.
À y bien regarder, ils m’ont porté dans une pièce avec un bureau et un simple canapé sur lequel des vêtements sont impeccablement posés.
Devant moi autour de la table prenant leurs cafés, ils se présentent Christian et Charlie les généralistes, Charles le pédiatre, Cyril l’ophtalmologiste tient il est gaucher et Corentin l’urologue.
C’est avec un grand sourire de la blague qu’ils m’ont imposée.
Une blague pour deux mille euros et cinq hommes, la performance a un goût amer pour moi !
Un goût amer, jusqu’à ce que Christian le premier des quintuplés qui m’a baisé, me tend plusieurs enveloppes numérotées de 2 à 6…

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